Chérie, je ne suis pas prêt
"Je ne suis pas prêt"... Des mots coup-de-poing à vous prendre dans la figure au moment où on s'y attend le moins.
Aujourd'hui, je parlerais des femmes qui sont confrontées aux hommes en mal de liberté. La peur de l'engagement est un problème réel de notre société.
Homme, femme... les deux sexes y sont confrontés, cependant, l'homme en mal d'engagement est beaucoup moins légendaire.
Plus de liberté, pas de liens, ne dépendre de personne et que personne de dépende d'eux : c'est une sitation difficile à gérer pour nos petits coeur si amoureux.
Il ne s'agit pas de sexisme, mais de généralité. Même si on observe de plus en plus de phobie d'engagement chez les femmes actives qui profitent de plus en plus de leur vie, la majorité reste encore masculine.
La peur de l'engagement arrive souvent chez deux profils :
> les séducteurs qui tiennent à leur liberté. Ils ont passé des années à peaufiner leurs techniques. Hors de question qu'ils s'engagent maintenant pour ne pas tester leurs atouts sur plusieurs "victimes".
> les trompés. Ils ont déjà eu cette envie d'engagement mais ont donné leur coeur trop vite et ce sont retrouvés face à des trahisons, des tromperies infidèles qui leur on fait promettre de ne plus s'y faire prendre.
Dans le premier cas, l'autre n'a pas son mot à dire. Le séducteur choisit, se laisse "ferrer" mais conserve toujours le contrôle. Vous ne pouvez espérer qu'être celle pour qui il lachera tout ou tout simplement être celle avant ses 35 ans, avec laquelle il se regardera dans le miroir en se disant qu'il s'est bien amusé et qu'il est temps de se caser.
Dans le deuxième cas, l'autre a énormément de responsabilités car un "trompé" aura beaucoup de mal à refaire confiance telle une bête appeurée. Là où une femme y croit toujours et tombe les barrières au bout de quelques jours/semaines en se disant que l'amour est peut être encore au rendez-vous ; un homme blessé pourra mettre des mois, voire des années avant de refaire confiance à nouveau.
La balle est donc dans votre camp : si vous tenez à lui, il ne tient qu'à vous de le rassurer, de ne pas reproduire les erreurs qu'il a subit; mais aussi de lui faire comprendre que vous aussi, vous avez très certainement souffert et que si vous êtes prête à faire des efforts, il doit en faire également.
La peur de l'engagement n'est pas toujours volontaire et décidée. C'est parfois un sentiment naturel qui leur montre que vous n'êtes pas fait pour eux. A l'instinct. Pas toujours facile à accepter et à comprendre, le conjoint "pas prêt" ne peut pas expliquer contrètement ses peurs. Tout simplement parce qu'il ne le sait pas forcément lui même. ça ne s'explique pas : il le vit et le ressent tout simplement.
Il n'y a donc pas de solution miracle :
> soit vous faites preuve de patience et de conviction
> soit vous laissez tomber
Forcer les choses vous permettra peut-être de relancer la machine et de rallonger votre relation de quelques temps, mais il est très probable que la finalité soit la même : la rupture pour incompatibilité notoire.
Encore une fois, il faut bien comprendre que chacun a ses expériences et ses réactions. Et que les hommes et les femmes ne vivent pas les choses de la même façon. Un fait que nous connaissons tous depuis des années maintenant aux vues des nombreux ouvrages à ce sujet... Mais ce n'est pas toujours facile à appliquer.
Patience...
Aujourd'hui, je parlerais des femmes qui sont confrontées aux hommes en mal de liberté. La peur de l'engagement est un problème réel de notre société.
Homme, femme... les deux sexes y sont confrontés, cependant, l'homme en mal d'engagement est beaucoup moins légendaire.
Plus de liberté, pas de liens, ne dépendre de personne et que personne de dépende d'eux : c'est une sitation difficile à gérer pour nos petits coeur si amoureux.
Il ne s'agit pas de sexisme, mais de généralité. Même si on observe de plus en plus de phobie d'engagement chez les femmes actives qui profitent de plus en plus de leur vie, la majorité reste encore masculine.
La peur de l'engagement arrive souvent chez deux profils :
> les séducteurs qui tiennent à leur liberté. Ils ont passé des années à peaufiner leurs techniques. Hors de question qu'ils s'engagent maintenant pour ne pas tester leurs atouts sur plusieurs "victimes".
> les trompés. Ils ont déjà eu cette envie d'engagement mais ont donné leur coeur trop vite et ce sont retrouvés face à des trahisons, des tromperies infidèles qui leur on fait promettre de ne plus s'y faire prendre.
Dans le premier cas, l'autre n'a pas son mot à dire. Le séducteur choisit, se laisse "ferrer" mais conserve toujours le contrôle. Vous ne pouvez espérer qu'être celle pour qui il lachera tout ou tout simplement être celle avant ses 35 ans, avec laquelle il se regardera dans le miroir en se disant qu'il s'est bien amusé et qu'il est temps de se caser.
Dans le deuxième cas, l'autre a énormément de responsabilités car un "trompé" aura beaucoup de mal à refaire confiance telle une bête appeurée. Là où une femme y croit toujours et tombe les barrières au bout de quelques jours/semaines en se disant que l'amour est peut être encore au rendez-vous ; un homme blessé pourra mettre des mois, voire des années avant de refaire confiance à nouveau.
La balle est donc dans votre camp : si vous tenez à lui, il ne tient qu'à vous de le rassurer, de ne pas reproduire les erreurs qu'il a subit; mais aussi de lui faire comprendre que vous aussi, vous avez très certainement souffert et que si vous êtes prête à faire des efforts, il doit en faire également.
La peur de l'engagement n'est pas toujours volontaire et décidée. C'est parfois un sentiment naturel qui leur montre que vous n'êtes pas fait pour eux. A l'instinct. Pas toujours facile à accepter et à comprendre, le conjoint "pas prêt" ne peut pas expliquer contrètement ses peurs. Tout simplement parce qu'il ne le sait pas forcément lui même. ça ne s'explique pas : il le vit et le ressent tout simplement.
Il n'y a donc pas de solution miracle :
> soit vous faites preuve de patience et de conviction
> soit vous laissez tomber
Forcer les choses vous permettra peut-être de relancer la machine et de rallonger votre relation de quelques temps, mais il est très probable que la finalité soit la même : la rupture pour incompatibilité notoire.
Encore une fois, il faut bien comprendre que chacun a ses expériences et ses réactions. Et que les hommes et les femmes ne vivent pas les choses de la même façon. Un fait que nous connaissons tous depuis des années maintenant aux vues des nombreux ouvrages à ce sujet... Mais ce n'est pas toujours facile à appliquer.
Patience...